Le cuivre par sa souplesse et son association avec divers médiums dévoile une infinité de combinaisons.
Ces travaux sont le résultat de recherches d'interactions entre les vernis, les acides et les liants, sur la structure première du cuivre.
La souplesse de sa matière se prête à des déformations : emboutissages, martelages, polissages, etc...
À partir d'une même matrice, le pot apparaît, selon l'encrage, l'outil employé ou encore le temps mordu dans l'acide,
dans des complexités de formes et de styles différents, aboutissant à une collection.
